On l’appelle l’ourson tranquille, la force tranquille ou le père tranquille.

Ces termes révèlent son côté calme, puissant, sociable et affectueux.

Bref, il a tout pour plaire.
Court sur pattes, la queue épaisse, les yeux en forme de billes, le chaton british shorthair a tout d’une peluche.

 

 

Toute sa vie, il dégage cette impression.

Sa fourrure est un véritable envoûtement. Dès son plus jeune âge, il arbore une robe mousseuse. On se plaît à enfouir les doigts dans son pelage et il se laisse volontiers caresser.

Cajolé, choyé, bébé british devient très vite familier et apparaît très éveillé. Sage et posé, il a néanmoins ses quarts d’heure de folie. Mais il s’abstient de grimper aux rideaux.

 

Il est très facile à éduquer.

Lorsqu’il lui arrive de faire des bêtises, une grosse voix est suffisante pour le rappeler à l’ordre. Un « non »  avec le droit dressé le dissuadera de recommencer

 

 

 

Il a une présence apaisante. Véritable « rouleau décompresseur », il est le remède à l’angoisse, idéal pour les gens nerveux.


Il se tiendra toujours à vos côtés, mais ne montera pas d’autorité sur vos genoux. Il n’est pas envahissant.
Il a besoin que l’on s’occupe de lui, en le caressant, en lui parlant ou en jouant avec lui.

 

Il accueille bien les autres animaux que vous lui présentez, car il est très sociable.

Un autre avantage du british : sa robustesse. C’est un chat qui va peu chez le vétérinaire, hormis pour ses vaccinations annuelles.


 


Il aime le confort mais n’est pas réfractaire à quelques instants de liberté surveillée dans un jardin. Mais ne laissez pas vagabonder un british, il a l’air si gentil –et il l’est- qu’il se laisserait enlevé sans sortir les griffes !

Il va sans dire que la vie d’un chat citadin lui va comme un gant, comme celle de chat de famille car il n’est pas trop exclusif dans son affection.

Bien dans sa peau, bien dans ses poils, il est prêt à vous accompagner pour de longues années de tranquillité et de bonheur !

L’une des caractéristiques du british réside dans la lenteur de sa croissance : on estime en général qu’un british n’est vraiment adulte (et « fini » physiquement) qu’à l’âge de trois ans. Il est aussi un chat à métamorphoses : mignon jusqu’à trois mois (on dirait une boule de mohair), il se défait ensuite complètement. Son corps et ses pattes s’allongent. À partir de six mois, il commence à s’étoffer et à s’arrondir. La couleur de son pelage se stabilise et ses yeux se parent du célèbre doré des britishs.

Votre british retrouve son allure de chat-nounours pour ne plus la quitter.

élevage familial

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